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Canadian Public Health Association

Élections

Le scrutin a été ouvert à 0 h 1 (minuit une) (HE) le 3 octobre 2023 et fermera à 23 h 59 (HE) le 7 novembre 2023.

Tous les membres de l’Association qui étaient en règle au 30 septembre 2023 et qui n’avaient aucun frais ou contribution en retard sont habiles à voter.

Votez maintenant!

Administrateurs (trices)

En réponse à l’appel général de candidatures envoyé aux membres, l’ACSP a reçu huit (8) candidatures pour pourvoir deux (2) sièges au conseil d’administration. Pour voir le profil d’une candidate, sélectionnez son nom.

 

Sehjal Bhargava (Ontario)

Aux membres et au conseil d’administration de l’ACSP,

Je m’appelle Sehjal Bhargava; je suis résidente de deuxième année (R2) en santé publique, médecine préventive et médecine familiale à l’Université d’Ottawa, sur les territoires traditionnels non cédés du peuple algonquin anichinabé.

Fille d’immigrants, je suis née et j’ai grandi en Saskatchewan, où diverses expériences m’ont amenée à me concentrer sur les soins préventifs et les interventions d’amont. L’été d’avant mes études de médecine, j’ai fait un stage dans la fonction publique fédérale où j’ai appris le rôle central des messages stratégiques, de la mise en récit et de la connectivité dans la défense d’une cause. Durant mes études de médecine, j’ai commencé à observer et à comprendre que les déterminants de la santé vont au-delà de la sphère sociale ‒ et j’ai élargi ma perspective de la santé pour inclure les déterminants politiques, coloniaux et planétaires.

Ma volonté d’apprendre à opérer un changement au niveau populationnel m’a aidée à diriger avec succès une équipe pour convaincre le gouvernement provincial de la Saskatchewan d’offrir un accès universel à Mifegymiso, et à fonder un groupe étudiant sur la santé planétaire, puis la section régionale de la Saskatchewan de l’Association canadienne des médecins pour l’environnement (ACME). J’ai été l’une des autrices d’un programme d’études pour les écoles de médecine sur l’intersection entre la crise climatique et la santé, j’ai lancé PaRx (« l’ordonnance nature ») en Saskatchewan, et plus tard, quand j’ai été directrice des affaires gouvernementales au conseil d’administration de la Fédération des étudiants et des étudiantes en médecine du Canada, j’ai partagé mon expérience en élaborant des programmes de formation aux techniques de plaidoyer pour les étudiant·es en médecine du pays, entre autres projets.

Je me passionne pour la prévention des maladies, la promotion de la santé, les effets de la crise climatique sur la santé, la santé autochtone et la prise en compte des conséquences sanitaires disproportionnées que connaissent les populations structurellement marginalisées. Je termine ma formation en médecine familiale dans une clinique de santé communautaire d’un quartier déshérité du centre-ville d’Ottawa. Je suis en train d’y acquérir une expérience pratique des lacunes dans les soins communautaires aux populations marginalisées qui me servira dans mon travail en santé publique. Je mène actuellement une étude sur les obstacles aux soins et je plaide en faveur d’une plus grande attention politique, en médecine, aux modèles de soins préventifs communautaires et en équipe.

Je suis coprésidente de la section régionale ontarienne de l’ACME, où je travaille avec un groupe interdisciplinaire de professionnel·les de santé qui plaident pour la santé des êtres humains et de la planète. Je travaille avec le gouvernement fédéral sur une politique d’adaptation à la chaleur extrême, et j’ai fait partie de la délégation du gouvernement du Canada à la Conférence des Nations Unies sur la réduction des risques de catastrophe en Uruguay plus tôt cette année. Je rencontre souvent des ministres et des député·es pour discuter des objectifs stratégiques de l’ACME, et j’accorde de nombreuses entrevues aux médias pour diffuser notre message au public.

Mon expérience dans les domaines des communications, du leadership, de l’élaboration des politiques et du travail d’équipe constitue une bonne base pour être une administratrice efficace de l’ACSP. En tant que jeune professionnelle, je suis de celles qui hériteront des réussites et des échecs du système de santé que nous bâtissons actuellement. Mes solides compétences dans le domaine des déterminants écologiques de la santé et mon expérience dans des postes de responsabilité me permettront de contribuer aux discussions et à la planification pour la durabilité et la pérennité des objectifs de l’ACSP.

Merci de votre attention.

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Foluso Ishola (Ontario)

Je m’appelle Foluso Ishola et je suis résidente en santé publique et médecine préventive à l’Université d’Ottawa. J’ai une maîtrise en santé publique de la London School of Hygiene and Tropical Medicine et un doctorat en épidémiologie de l’Université McGill.

J’ai eu le privilège de travailler en santé publique et des populations pour des ministères de la Santé, des organismes intergouvernementaux, des universités et des organismes sans but lucratif en Amérique du Nord et en Afrique subsaharienne. En tant que boursière en politiques et programmes sous la direction de Susan G. Komen aux États-Unis, j’ai mené des analyses du système de santé pour cerner les obstacles et proposer des recommandations en vue d’améliorer les programmes de dépistage des cancers du sein et du col utérin. J’ai appuyé la conception et l’évaluation d’un projet novateur de l’USAID, Mobile Moms, qui vise à améliorer l’accès des femmes enceintes et en postpartum aux renseignements et aux services médicaux en Afrique subsaharienne. J’ai préparé des dossiers sur la maltraitance des enfants au Canada pour la section de l’épidémiologie de la violence familiale de l’Agence de la santé publique du Canada. En matière de recherche, je m’intéresse à l’évaluation des effets des politiques de santé publique et à l’examen des pratiques exemplaires de collecte de données sur les déterminants sociaux de la santé dans les milieux de la santé publique et des soins primaires. À travers ces expériences diverses, j’ai acquis une perspective et une compréhension sans pareil du fonctionnement des systèmes de santé publique à divers paliers, localement et à l’étranger, et j’ai entretenu des collaborations stratégiques à la satisfaction des parties prenantes.

J’ai de l’expérience en rédaction de propositions de politiques, et j’ai siégé à des conseils consultatifs et participé à des groupes de travail. Dernièrement, j’ai siégé au comité consultatif des stagiaires et au groupe étudiant de défense des minorités sous-représentées du Consortium des universités pour la santé mondiale (CUGH), où j’avais pour tâche de promouvoir la diversité dans l’enseignement postsecondaire et la lutte contre le racisme institutionnel, et de fournir des conseils sur la stratégie en matière d’équité et les pratiques d’inclusion. J’ai aussi été présidente du processus électoral et du contrôle des candidatures, et j’ai fait la promotion de la visibilité, de la diversité et de la mobilisation des membres du CUGH auprès des stagiaires. Ces expériences m’ont apporté les connaissances nécessaires pour appliquer un prisme d’équité aux questions de santé publique.

Merci d’avoir pris le temps de vous renseigner sur mon expérience. J’espère contribuer à concrétiser la vision et la mission de l’ACSP en apportant une perspective utile et unique pour éclairer les plans stratégiques et les pratiques de gouvernance de l’Association.

LinkedIn

Margaret Loong (Ontario)

Bonjour! Je m’appelle Margaret Loong; je suis une professionnelle stratégique, axée sur les gens et passionnée par l’amélioration de la santé dans ma communauté locale et mondiale. Mon cheminement de carrière m’a amenée hors de la santé publique, mais j’alimente ma passion en faisant du bénévolat pour divers groupes et en travaillant sur des projets indépendants dans le domaine des sciences de la santé, comme je l’explique dans mon profil LinkedIn. J’ai une double majeure en psychologie et en vulgarisation scientifique de la santé, car je m’intéresse depuis longtemps à la façon dont l’information sur la santé est véhiculée aux personnes de tous les milieux. Si je suis élue, je suis prête à contribuer aux objectifs stratégiques de l’ACSP sur les plans suivants :

1. Assurer la représentation des minorités/groupes marginalisés et de leurs points de vue :
En tant qu’immigrante de deuxième génération (mes parents ont immigré dans les années 1980), j’offre une perspective unique, ayant vécu les difficultés auxquelles mes parents ont fait face comme nouveaux arrivants et ayant appris à contourner les obstacles systémiques qui s’élèvent devant une femme membre d’une minorité, sans fortune parentale sur laquelle compter. Pendant la COVID-19, j’ai étudié les tendances de prévalence des cas positifs dans les quartiers à forte densité d’immigrantes et d’immigrants. J’ai commenté des tournures de phrases susceptibles de dépeindre les groupes marginalisés sous un jour négatif pour des raisons indépendantes de leur volonté, ce qui a amené les équipes de recherche de l’Institut de recherche en services de santé (IC/ES) à réévaluer la forme sous laquelle leurs résultats étaient publiés.

2. Diriger des stratégies de soutien organisationnel :
Mon expérience de bénévole m’a appris que sans un haut niveau de mobilisation des membres, on obtient des résultats limités. En outre, j’apporte plus de 10 ans d’expérience professionnelle en gestion de grands groupes de parties prenantes et une connaissance des spécificités propres au Canada, dont les multiples fuseaux horaires, les langues et les nuances culturelles. En tant qu’administratrice, ma priorité serait d’apprendre à connaître la base de membres et ce qu’il faut faire pour atteindre les objectifs stratégiques et maintenir les acquis de l’ACSP.

3. Plaider en faveur de la prévention pour appuyer le bien-être mental des populations :
Sans être une professionnelle formée, je reconnais le besoin d’éliminer la stigmatisation associée à la discussion ouverte des questions de santé mentale dans différents groupes. Je préconise une stratégie de promotion du bien-être mental des populations, car je crois aux bienfaits de la prévention. J’utiliserai mes compétences en négociation, en orientation des décisions et en habilitation du leadership pour faire avancer le débat et contribuer à l’atteinte de cet objectif.

Bref, j’espère que mon parcours professionnel et bénévole est éloquent; je vous invite à voter pour une personne polyvalente, passionnée d’apprendre, de faire du bénévolat et de contribuer à l’amélioration de la santé au Canada et à l’étranger. Si vous avez des questions sur mon expérience et sur la façon dont je peux aider l’ACSP en tant qu’administratrice, contactez-moi via LinkedIn et je serai heureuse de vous répondre. Merci de votre temps et de votre appui!

LinkedIn

Pierre Henri Minot (Québec)

Éducateur spécialisé de formation, après 10 ans auprès de l’adolescence en difficulté, je me suis tourné au Québec vers l’action communautaire et la prévention des ITSS. J’y ai développé mon expérience via l’intervention, et me suis impliqué dans les mobilisations structurelles, tout en étant à la direction générale d’un organisme provincial québécois, le Portail VIH/SIDA du Québec (PVSQ) : Conseils d’administrations de coalitions québécoises (COCQ-SIDA 1 an, TOMS 3 ans), mais aussi présidence du Projet d’Intervention auprès des Mineurs Prostitués (PIaMP, 2 ans).

C’est donc naturellement que je me suis tourné vers la santé publique provinciale, et après 18 mois à initier Montréal sans sida, une initiative régionale des Fast Track Cities de l’ONUSIDA qui mobilisait communautés, santé publique régionale de Montréal et Ville de Montréal, et qui vise à engager les municipalités dans l’éradication du VIH d’ici 2030, je suis depuis 4 ans chef de l’unité scientifique des ITSS, réduction des méfaits, diversité sexuelle et pluralité des genres à l’Institut national de santé publique du Québec. J’y gère notamment des projets de surveillance et expertise-conseil en ITSS, et développement des compétences, et plus récemment en intérim l’unité Milieux de vies inclusifs, sains et sécuritaires (Vieillissement en santé, prévention de la violence, alimentations, etc.)

À ce titre, tout comme lorsque j’étais directeur général du PVSQ où j’ai soutenu la mise en place à l'ACSP du projet sur la réduction de la stigmatisation en ITSS, je collabore à l’INSPQ aux échanges de connaissances entre nos organisations, toujours en lien avec les ITSS et la stigmatisation.

En parallèle de cette implication professionnelle forte, je suis candidat à la maitrise en étude des pratiques psychosociales à l’Université du Québec à Rimouski (DESS obtenu), et je suis intervenant oncall pour le programme travail du sexe de RÉZOsanté, un organisme de prévention des ITSS auprès des travailleur-ses du sexe de Montréal.

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Pemma Muzumdar (Québec)

Je m’appelle Pemma Muzumdar (elle). Je parle anglais et français, et je suis racisée comme étant brune. Je vis, je travaille, je joue et j’élève mes deux enfants à Tiohtiá:ke ‒ qu’on appelle aujourd’hui Montréal ‒ sur les terres et les eaux non cédées de la Nation Kanien’kehá:ka. Je suis titulaire d’une maîtrise en santé publique de l’Université de Waterloo (2010).

Depuis plus de dix ans, dans des rôles avec les Centres de collaboration nationale en santé publique, je travaille au cœur de la santé publique, de l’application des connaissances et du changement des systèmes. Avant cela, j’ai passé cinq ans dans l’enseignement des sciences, à intéresser de jeunes apprenant·es, en personne au Centre des sciences de l’Ontario et devant la caméra pour la chaîne Discovery Channel Canada.

Leadership, expérience et intérêts pertinents
Mes valeurs personnelles (respect, humilité culturelle, relations, collaboration, équité et justice sociale) correspondent étroitement à celles de l’ACSP. Comme administratrice, j’établirais des liens significatifs entre les gens, les données probantes et les connaissances. J’utiliserais en particulier mon expérience et mes réseaux pancanadiens pour :

1) Faire avancer l’équité en santé
En tant que spécialiste de l’application des connaissances au Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé (CCNDS), j’ai exploré par écrit l’application de l’intersectionnalité en santé publique, la nécessité de donner vie aux valeurs de l’équité en santé dans les organismes de santé publique et les incidences de la COVID-19 sur l’équité en santé. Cette année, je suis fière de coréaliser le balado Mind the Disruption. Je m’en sers pour explorer les possibilités pour la santé publique de contribuer au travail de réflexion et de revendication lié à l’équité en santé. Je m’intéresse en particulier aux possibilités pour la santé publique d’aborder la justice climatique et le racisme environnemental, la restitution de la naissance aux communautés autochtones, la régularisation de l’immigration et la justice envers le handicap.

2) Désorganiser le racisme
Je continue de perfectionner volontairement mon aptitude à reconnaître et à interrompre différentes formes de racisme. J’aimerais m’associer au cheminement de l’ACSP dans ce domaine et l’aider à passer de l’apprentissage à l’action.

Au sein du comité directeur de la conférence annuelle de l’ACSP en 2016 et 2017, j’ai coplanifié des plénières sur le racisme et la santé publique. Depuis, j’ai contribué à des formations et à des ressources antiracistes qui ont joint des milliers de praticiennes et de praticiens. Dernièrement au CCNDS, en partenariat avec l’organisme Black Health Education Collaborative, nous avons offert une série de webinaires en trois parties sur le racisme anti-Noirs et la santé publique.

3) Aborder la crise climatique
En 2021-2022, j’ai publié à l’intention des praticien·nes deux mémoires préconisant une intervention urgente de la santé publique pour contrer la crise climatique, ainsi que les systèmes oppressifs qui alimentent cette crise et ses répercussions inéquitables. J’ai travaillé en partenariat avec le Bureau des changements climatiques et de l’innovation de Santé Canada au renforcement des capacités en santé publique dans ce domaine, et j’ai participé récemment à la table consultative sur la santé et le bien-être de la Stratégie nationale d’adaptation.

N’hésitez pas à me contacter à l’adresse pmuzumd@stfx.ca. Je serais ravie d’échanger des réflexions et des idées pour mettre la justice sociale au centre du renouvellement du système de santé publique, y compris en nous impliquant dans la vérité et la réconciliation avec les peuples autochtones. Merci de votre attention!

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Amy Nahwegahbow (Ontario)

Professionnelle des Premières Nations, je vis et je travaille dans la région d’Ottawa. Depuis plus de 25 ans, mes études et mon travail portent sur l’amélioration des connaissances en santé des Premières Nations pour influencer un changement positif et inspirer des politiques et des programmes de santé efficaces dans les communautés des Premières Nations. Je travaille actuellement comme conseillère principale en recherche pour le Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations. Dans ce rôle, je dirige et j’appuie divers projets qui contribuent à des études de qualité visant à améliorer la santé et le bien-être des Premières Nations du pays. Je suis aussi en détachement auprès de l’Institut canadien d’information sur la santé pour contribuer à faire avancer son travail de mesure de la sécurisation culturelle dans le système de soins de santé et de réponse aux besoins des peuples autochtones en matière de données de santé.

Je suis diplômée du programme de baccalauréat ès arts spécialisé de l’Université Trent avec une majeure en études autochtones. J’ai aussi terminé récemment le programme de maîtrise en santé publique de l’Université de Waterloo, et j’entame un doctorat (en épidémiologie) à l’École des sciences de la santé publique de cette même université cet automne. Mes études m’ont exposée à une gamme de disciplines des sciences sociales et de la santé publique, dont les méthodes de recherche occidentales et autochtones et la reconnaissance de l’influence des déterminants sociaux de la santé dans le bien-être des personnes et des communautés autochtones.

Mon expérience professionnelle passée en analyse des politiques et en recherche dans des organismes autochtones nationaux a élargi mes connaissances et mes réseaux en santé autochtone. Dans tous mes postes antérieurs, il était essentiel d’établir des relations de travail et des partenariats solides avec les communautés et les autres organismes autochtones, les organismes de santé, les milieux universitaires et tous les ordres de gouvernement pour bien appuyer les organismes dans leur mandat.

J’ai exercé trois mandats consécutifs au conseil d’administration de l’Odawa Native Friendship Centre, où j’étais responsable du soutien au directeur exécutif, de la présidence des séances du c.a., de la planification stratégique, de la conformité juridique, de la prise de décisions efficaces, de la transparence et des obligations redditionnelles de l’organisme.

Entre autres expériences professionnelles pertinentes, j’ai été chargée de projet principale des Partenaires pour l’engagement et l’échange des connaissances, une initiative financée par les IRSC appelée Voies de l’équité en santé pour les Autochtones qui intègre les modes de savoir traditionnels dans la recherche en santé et soutient l’application de ce savoir dans des interventions sanitaires plus efficaces, concrètes et culturellement appropriées. Dans ce rôle, j’ai été chargée d’encadrer la planification de programme et la gestion financière, de superviser/mentorer le personnel et les stagiaires et de coordonner un comité national de spécialistes en santé autochtone. Mes principales réalisations ont été d’obtenir 2,3 millions de dollars de financement de l’Agence de la santé publique du Canada pour une intervention contre le VIH, l’hépatite C et les ITSS connexes; d’établir l’admissibilité de l’Association des femmes autochtones du Canada à administrer des fonds de subventions et des prix des IRSC; et de favoriser des liens solides entre les communautés et les chercheurs et chercheuses pour élaborer des projets de recherche communautaire respectueux.

Si je me porte candidate, c’est que je crois pouvoir être utile au conseil d’administration de l’ACSP, où ma perspective de femme et de membre des Premières Nations ajouterait à la diversité de l’Association. Quant aux qualités/traits personnels qui font de moi un atout, je suis une personne assidue, fiable, morale et pragmatique, et j’ai l’esprit critique. Ce qui m’intéresse, c’est de promouvoir les priorités stratégiques de l’ACSP, en particulier de cheminer vers la Vérité et la Réconciliation avec les peuples autochtones, la justice sociale, la lutte contre l’oppression et le racisme et d’améliorer la participation et la durabilité organisationnelle.

Merci de votre attention.

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Alexandre Petiquan (Ontario)

Boozhoo,

Je suis le Dr Alexandre Petiquan; je suis un Anichinabé de la Première Nation Wabauskang, située sur le territoire du Grand Conseil du Traité no 3 dans le Nord de l’Ontario. J’ai reçu mon diplôme de médecine de l’École de médecine du Nord de l’Ontario en 2016 et fait trois ans de résidence en anatomopathologie à l’Université d’Ottawa avant d’accepter un poste permanent d’analyste principal des politiques au Bureau de la santé de la population et de la santé publique de Services aux Autochtones Canada. Plus récemment, j’ai été accepté dans le programme de population et de médecine préventive de l’Université d’Ottawa pour y effectuer ma formation spécialisée.

Au cours de ma carrière médicale, j’ai participé et je continue de siéger à de nombreux comités et organismes consultatifs. J’ai été membre fondateur du groupe d’experts-conseils en santé du Grand Conseil du Traité no 3 qui a élaboré les premières versions de notre Loi sur la santé, et j’ai conseillé le comité de gestion des données pour garantir que la souveraineté des données des personnes autochtones dans les demandes de recherche en santé soit convenablement gérée et examinée dans le respect des principes ACAP [appropriation, contrôle, accès et possession]. À Ottawa, je suis membre du comité d’éthique de la recherche du Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario et du comité sur le don d’organes et de tissus, et coprésident du Cercle consultatif en matière de recherche autochtone. Je trouve qu’il est extrêmement utile et éducatif de participer à divers comités locaux et régionaux pour en arriver à une vision équilibrée des besoins régionaux prioritaires en santé publique qui puisse se traduire en stratégies nationales.

Au palier national, mon travail a couvert tout l’éventail des politiques de santé, dont la promotion de la santé, la surveillance des maladies et l’élaboration des politiques, avant et pendant la pandémie de COVID-19. J’ai été choisi comme agent de liaison ministériel pour l’intervention de la santé publique contre les lésions pulmonaires associées à l’utilisation de produits destinés aux cigarettes électroniques ou au vapotage (EVALI), ce qui a inclus l’élaboration d’une définition de cas et la négociation d’accords d’échange d’informations. Pour ma contribution à l’intervention intergouvernementale contre la COVID-19, j’ai reçu une « pièce de défi » du Centre des opérations du gouvernement fédéral pour avoir établi des relations entre les organisations non gouvernementales et les équipes de santé locales. Entre autres activités de gestion et expériences clés que je peux apporter au c.a., il y a le fait d’avoir participé à des exercices de planification des activités de gestion des ministères fédéraux axés sur la planification budgétaire, ainsi que mon expérience logistique en tant que dirigeant ministériel de la coordination et de la distribution des dispositifs d’essai pour la COVID-19 afin de garantir l’allocation équitable de ces ressources avec les parties prenantes autochtones.

J’ai récemment terminé un échange d’un an avec Inuit Tapiriit Kanatami (ITK) comme conseiller principal en politiques – santé publique et élimination de la tuberculose. Dans ce rôle, j’ai représenté ITK au sein de nombreux conseils consultatifs autochtones, dont celui de l’Association canadienne de santé publique qui a facilité l’établissement de réseaux avec des spécialistes de contenus pour la préparation de documents stratégiques élaborés par l’Association.

Je suis certain que mon expérience et ma perspective en tant que médecin autochtone seront d’une grande valeur pour une association qui s’efforce de marquer son engagement envers la santé publique à tous les paliers de gouvernance. Je suis prêt à relever ce nouveau défi en poursuivant ma formation spécialisée, et je m’engage à faire en sorte que les approches d’équité soient au centre de la santé publique et du mandat de l’ACSP.

Miigwech.

Angela Silveira (Saskatchewan)

Je suis Angela Silveira, une immigrante de première génération au Canada avec des racines ancestrales en Afrique, en Europe et en Asie du Sud. Mon ascendance multiple a inspiré en moi une profonde reconnaissance envers les cultures et les antécédents divers, et elle sous-tend mon engagement inébranlable envers la lutte contre le racisme et l’oppression.

Je suis profondément reconnaissante de l’hospitalité chaleureuse que j’ai reçue comme résidente de cette terre en Saskatchewan, où j’ai vécu et prospéré, principalement sur les territoires ancestraux des nations crie, saulteaux, déné, dakota, lakota, nakota et métisses. Je reconnais leur riche histoire et l’importance vitale de respecter ces terres traditionnelles.

Je suis actuellement médecin-résidente senior spécialisée en santé publique et en médecine préventive à l’Université de la Saskatchewan. J’ai récemment obtenu un diplôme en médecine et hygiène tropicales de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, et je suis titulaire d’une maîtrise en santé publique de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health.

En tant que médecin-résidente, j’ai acquis une connaissance approfondie des disciplines de base de la santé publique, dont la promotion et la surveillance de la santé et la prise en charge des maladies transmissibles et non transmissibles. Notamment, j’ai cofondé le premier programme de mentorat national en santé publique pour favoriser la collaboration et élever la santé publique dans la liste des spécialités médicales.

En partenariat avec le Réseau pour la santé publique urbain et le Partenariat canadien contre le cancer, je participe activement à un projet national qui vise à améliorer l’accessibilité et l’utilisation du vaccin contre le VPH pour prévenir le cancer. Je m’intéresse aussi dernièrement aux points d’intersection entre la médecine du travail et la santé publique, en particulier pour assurer la sécurité et prévenir les maladies dans diverses professions, comme la dentisterie, les soins infirmiers, l’agriculture et les sciences vétérinaires.

Au cours des cinq dernières années, j’ai eu le privilège de coprésider le Conseil des résidents des Médecins de santé publique du Canada. Cette expérience a approfondi ma compréhension des difficultés auxquelles font face les résidents et résidentes et les médecins de santé publique, dont l’épuisement professionnel, l’usage de substances, les iniquités en santé et le délicat équilibre entre la santé des populations et les mesures sanitaires durant les urgences. Notre Conseil favorise activement l’implication des membres par le partage des ressources et au moyen de webinaires et de réunions périodiques.

De plus, en tant qu’administratrice représentant la santé publique et la médecine préventive au sein de l’organisme Resident Doctors of Saskatchewan, j’ai joué un rôle pivot en modifiant la politique de prévention de la discrimination et du harcèlement du Collège de médecine de l’Université de la Saskatchewan. Cette politique s’aligne sur le cadre d’équité, de diversité et d’inclusion de l’Université et aborde les incidents de discrimination ou de harcèlement dans l’environnement universitaire de travail et d’apprentissage. La défense de ces questions de santé publique souligne l’importance de l’élaboration et de la mise en œuvre des politiques dans notre organisme et dans la province où je vis, je travaille et j’entretiens des rapports avec ma communauté.

J’apprécie le temps que vous passez à en savoir davantage sur mes antécédents et mes aspirations. Mon objectif est d’apporter une contribution constructive et concrète à la réalisation de la mission de l’ACSP. Je me concentrerai sur la mise en évidence du rôle pivot de la santé publique pour cultiver des communautés résilientes, favoriser le mentorat et le renforcement des capacités de la nouvelle génération de professionnel·les de la santé publique et revendiquer les ressources et le soutien essentiels dont les systèmes de santé publique et les praticiennes et praticiens ont besoin pour optimiser leur travail inestimable.

Avec mes humbles remerciements.

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ADMINISTRATEUR ÉTUDIANT/ADMINISTRATRICE ÉTUDIANTE

Le vote pour l’administrateur étudiant/l’administratrice étudiante est ouvert à TOUS les membres de l’ACSP. Les étudiantes et les étudiants sont l’avenir de la santé publique, et nous encourageons nos membres à appuyer les candidates et les candidats qui se présentent. Merci de prendre un moment pour examiner leurs énoncés et pour voter.

En réponse à l’appel général de candidatures envoyé aux membres, l’ACSP a reçu trois (3) candidatures pour pourvoir un (1) siège d’administrateur étudiant/d’administratrice étudiante. Cliquez sur un nom pour voir le profil de la candidate ou du candidat.

Brian Ellis-Legault (Ontario)

Je m’appelle Brian Ellis-Legault et je me porte candidat au siège d’administrateur étudiant au conseil d’administration de l’ACSP. Je suis né et j’ai grandi dans la petite ville d’Almonte, en Ontario, mais mon parcours universitaire a commencé à l’Université St. Francis Xavier d’Antigonish, en Nouvelle-Écosse, où j’ai fait un baccalauréat ès sciences appliquées en santé avec majeure en science biomédicale et une mineure axée sur les déterminants de la santé et l’équité en santé. Durant mes études à St.FX, j’ai aussi fait des recherches et rédigé un projet de fin d’études primé sur le déni de la COVID-19 dans la population étudiante des universités canadiennes et sur l’influence de l’idéologie politique de droite. J’ai me suis récemment réinstallé sur la côte Ouest, où je fais une maîtrise en santé publique à l’Université Simon Fraser de Burnaby, en Colombie-Britannique. Cet été, j’ai eu le privilège de faire mon stage d’application à l’ACSP, où j’ai travaillé aux côtés d’une autre étudiante à faire des recherches et à rédiger une analyse des éléments probants pour un énoncé de position à venir sur la décriminalisation du travail du sexe. Même ce très bref aperçu du travail incroyable accompli par le personnel et les membres de l’ACSP dans les nombreux domaines de la santé publique m’a permis de me rendre compte non seulement que c’est un organisme où je veux rester, mais aussi un organisme auquel je peux apporter des contributions concrètes.

Je me porte candidat parce que je crois que la santé publique en est à un point critique : nous voyons qu’elle suscite un intérêt renouvelé, mais nous sentons aussi l’urgence et l’immense difficulté d’assurer la continuité du soutien à ce domaine, étant donné les insuffisances perçues de la lutte nationale contre la pandémie. Je crois que l’ACSP doit agir de façon décisive et rapide pour exploiter l’énergie et l’intérêt des étudiant·es du pays et cultiver et habiliter une nouvelle génération de professionnel·les de la santé publique pour poursuivre ses objectifs stratégiques. Mais par-dessus tout, je crois que l’ACSP peut augmenter considérablement son implication sérieuse et active auprès de la population étudiante, et que je pourrais être la personne qu’il faut pour ce travail.

Dans l’ensemble, je pense que ma vaste expérience dans les domaines de la recherche en santé publique, de l’enseignement, de l’élaboration des politiques, du bénévolat et des gouvernements étudiants fait de moi un candidat idéal au siège d’administrateur étudiant. Étant conseiller élu pour représenter les étudiant·es diplômé·es de la Faculté des sciences de la santé au gouvernement étudiant de l’Université Simon Fraser, j’ai appris à trouver des façons uniques et novatrices d’obtenir les commentaires des étudiant·es et à les mobiliser autour de questions clés, mais aussi à représenter leurs intérêts fondamentaux. Mes études et mon travail d’assistant à l’enseignement en Nouvelle-Écosse et en Colombie-Britannique m’ont permis de créer un réseau de contacts diversifié d’étudiant·es et d’enseignant·es en santé publique et dans les disciplines connexes d’un bout à l’autre du pays, ce qui je crois pourrait être un atout majeur pour renforcer la participation étudiante et la viabilité organisationnelle. Mon expérience considérable en tant que secouriste médical bénévole m’a directement montré la gravité de la crise de santé mentale qui sévit actuellement, et mon rôle de mentor auprès de jeunes Agro-Néo-Écossais·es m’a donné un aperçu unique de l’importance et de la nécessité des objectifs de réconciliation avec les peuples autochtones et de lutte contre le racisme.

Je vous remercie d’envisager de m’accorder votre suffrage, et j’ai hâte à l’élection!

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Présentation par vidéo

Devon McAlpine (Ontario)

Je m’appelle Devon McAlpine et je vous écris pour exprimer mon intérêt pour le siège d’administrateur étudiant de l’ACSP. En tant qu’étudiant à la maîtrise en santé publique (MSP), mes études et mes travaux de recherche en santé publique, mon expérience à la tête d’organisations étudiantes et mon travail en santé communautaire et en soins de longue durée cadrent parfaitement avec le plan stratégique de l’ACSP et feraient de moi un administrateur étudiant qualifié, enthousiaste et ambitieux.

Durant mon baccalauréat ès sciences spécialisé à l’Université McMaster, j’ai participé à des activités parascolaires, entre autres au gouvernement étudiant et à des initiatives de recherche communautaire. Durant mes études supérieures, j’ai été assistant d’enseignement et j’ai siégé au comité des admissions à la maîtrise en santé publique, et je suis actuellement pair mentor et coprésident du comité des loisirs de mon département. De plus, comme agrégé de recherche au laboratoire Health by Design de l’Université de Guelph, j’ai étudié les compétences en communication de messages sur la santé et travaillé avec le comité consultatif sur les compétences essentielles des Centres de collaboration nationale. Ce travail a consisté à sonder la main-d’œuvre canadienne en santé publique sur ses compétences actuelles en communication et sur les éléments qui devraient selon elle être inclus dans un futur cadre de compétences en communication. Après ma maîtrise, j’espère poursuivre mes études et compléter mes connaissances en santé publique avec une formation médicale au cours des prochaines années.

Mon expérience professionnelle pertinente comprend un poste étudiant d’assistant à la promotion de la santé au Centre de santé communautaire CHIGAMIK. Dans ce rôle, j’ai acquis une expérience directe des déterminants de la santé et j’ai réalisé l’importance d’offrir des services de santé culturellement appropriés et de créer une relation de confiance et des partenariats entre les professionnel·les de la santé et la communauté que ces gens servent. J’ai aussi été adjoint à la recherche pour la maison de soins de longue durée Victoria Village, où j’ai observé l’importance d’avoir des initiatives de santé publique justes et équitables pour protéger la santé des populations vulnérables, ainsi que l’importance des politiques efficaces et bien communiquées pour être préparés à intervenir en situation d’urgence. Ces expériences professionnelles dans divers milieux m’ont donné de l’expérience et ont suscité chez moi un intérêt pour les questions de santé publique locales, régionales et de haut niveau et leurs liens avec des populations particulières.

Comme étudiant, comme leader et comme chercheur, je suis bien équipé pour atteindre les buts de l’ACSP et m’acquitter des responsabilités du siège d’administrateur étudiant. Surtout, les rôles que j’ai joués aux gouvernements étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs m’ont permis de diriger avec succès des groupes étudiants, d’amorcer de nouvelles activités et d’en évaluer les effets dans la vie personnelle et professionnelle des étudiant·es, notamment sur le plan des compétences transférables qu’elles leur offrent pour leurs carrières après la diplomation.

Comme administrateur étudiant, je m’efforcerais de maximiser la participation à l’ACSP d’étudiant·es de diverses disciplines pour améliorer l’accès et les retombées des possibilités et des réseaux étudiants et pour préparer les étudiant·es à améliorer la santé de populations et de communautés diverses au Canada en mettant l’accent sur l’équité en santé et sur les déterminants structurels de la santé. J’ai eu la chance de profiter de nombreuses occasions et expériences durant mes études, et j’espère rendre ces mêmes possibilités accessibles à d’autres étudiant·es pour les préparer à une fructueuse carrière en santé publique.

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Japteg Singh (Québec)

Bonjour, je suis Japteg Singh et je me porte candidat au siège d’administrateur étudiant à l’Association canadienne de santé publique (ACSP).

Je suis en première année d’un programme de 3e cycle en épidémiologie à l’Université McGill, et j’ai deux diplômes de maîtrise, en santé publique et en santé mondiale, de l’Université McMaster. Avant de commencer mes études doctorales, j’ai travaillé quelques années comme évaluateur de programmes et épidémiologiste au Bureau de santé de la région du Niagara (BSRN). Comme épidémiologiste, j’ai principalement appuyé les activités de surveillance liées au portefeuille de la COVID-19 (p. ex. les vaccins et les éclosions). J’ai aussi appuyé divers projets stratégiques du BSRN, dont la création d’évaluations de l’équité en santé pour les programmes existants et l’élaboration des « profils prioritaires » de la région du Niagara, un document qui décrit les associations entre les résultats cliniques et les facteurs sociodémographiques (l’âge, le sexe, le niveau d’instruction, le revenu, etc.). J’ai cependant un intérêt particulier pour le bien-être mental, et au cours de la dernière année, j’ai collaboré avec un groupe de professionnel·les de la santé publique et de chercheurs et chercheuses de divers horizons à mesurer l’épuisement professionnel dans la main-d’œuvre en santé publique canadienne. J’ai coprésenté les résultats de ce travail lors des séances scientifiques de Santé publique Ontario en août 2023.

Le siège d’administrateur étudiant m’intéresse, car il m’offrirait la possibilité de contribuer aux plans stratégiques de l’ACSP dans des domaines comme le bien-être mental des populations, de promulguer des politiques qui renforcent le système de santé publique canadien et d’influencer l’orientation de l’Association en fonction de mon expérience de travail en santé publique. Toutefois, mon objectif ou ma vision pour ce rôle serait principalement d’accroître la participation, le renforcement des capacités et le réseautage dans la population étudiante et chez les jeunes professionnel·les du domaine de la santé publique. Je crois que l’ACSP est bien placée pour aider ces jeunes durant leur transition vers la population active en leur offrant des ateliers et/ou des possibilités ou espaces de collaboration et de réseautage. J’ai une bonne fiche de résultats en matière de création de réseaux : j’ai animé en 2018 une conférence de santé publique menée par et pour les étudiant·es de l’Université McMaster pour partager leur travail, et j’ai présidé en 2019 le Sommet annuel pour les étudiants et jeunes professionnels de la santé mondiale. Ayant récemment fait l’expérience des difficultés de la transition des études au monde du travail, je pense pouvoir apporter une valeur ajoutée et des idées à l’ACSP sur la meilleure façon de dialoguer avec ses membres étudiant·es et jeunes professionnel·les et de leur fournir des services.

Merci de prendre le temps d’étudier mon énoncé de candidature et de songer à moi pour ce rôle.

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CONTEXTE

Tous les candidats ont fourni un énoncé et ont été encouragés à soumettre une photo, une vidéo et un lien vers un profil professionnel pour vous aider à faire vos choix. Même si vous ne connaissez pas tous les candidats, en lisant leurs profils vous pourrez les comparer et prendre une décision éclairée.

Même si vous ne connaissez pas tous les candidats, en lisant leurs profils vous pourrez les comparer et prendre une décision éclairée. Vous pouvez voter pour n’importe quels candidats — peu importe si vous les connaissez ou non, ou s’ils viennent de votre région ou non.

Vous êtes membres engagés de l’Association : il est important que vous ayez votre mot à dire et que vous votiez d’ici la fermeture du scrutin à 23 h 59 (HE) le 7 novembre 2023.

Qu’est-ce qu’une candidature idéale au conseil d’administration de l’ACSP?

Lorsque vous examinez les profils des candidats, gardez à l’esprit que le conseil d’administration de l’ACSP est un conseil d’orientation politique qui a besoin d’un ensemble équilibré de compétences prédéterminées. Pour exceller en matière de gouvernance, il faut des membres qui peuvent réfléchir de manière conceptuelle et à longue échéance et qui peuvent accueillir une diversité d’opinions.

Pour que l’ACSP soit gouvernée avec vision et force, le conseil d’administration doit inclure des membres qui exercent un éventail de rôles dans diverses disciplines de la santé publique et qui :

  • Démontrent un attachement à la vision, à la mission, aux valeurs et au plan stratégique de l’ACSP;
  • Ont à cœur la lutte contre le racisme et l’oppression;
  • Ont le temps et les ressources disponibles pour siéger au c.a. et à ses comités, assister à la conférence annuelle et représenter l’ACSP, au besoin;
  • Ont l’esprit d’équipe et entretiennent des relations avec des réseaux et des organismes qui se consacrent aux problèmes de santé publique; 
  • Démontrent un leadership manifeste (à leur stade de carrière respectif) dans le secteur de la santé publique. 

Les membres du c.a. doivent aussi avoir :

  • Une connaissance des systèmes financiers et de la gestion des risques;
  • Un intérêt pour les enjeux pancanadiens, régionaux, locaux et internationaux en santé publique; 
  • La connaissance des besoins distincts de populations et de communautés diverses;
  • Une connaissance de haut niveau du développement et de l’efficacité organisationnels. 

Pour 2024-2025, l’ACSP cherche des candidates et des candidats ayant une expérience particulière dans n’importe lesquels des domaines suivants :

  • Expérience professionnelle d’élaboration et de mise en œuvre d’une stratégie d’équité, de diversité et d’inclusion;
  • Expérience en défense des dossiers de santé publique, et connaissance de l’élaboration des politiques et des systèmes politiques qui ont un impact sur leur mise en œuvre;
  • Systèmes financiers et gestion des risques;
  • Collecte de fonds et/ou commandite d’entreprise;
  • Mobilisation des membres.