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Canadian Public Health Association

Les véhicules zéro émission - document d'information

Investissons dans les véhicules zéro émission pour des collectivités saines, vertes et équitables

Au cours des prochaines années, les gouvernements canadiens investiront dans des programmes et des politiques pour relancer l’économie et remettre les gens au travail. L’électrification du secteur des transports (responsable du quart des émissions de gaz à effet de serre [GES] du Canada) devra être un élément pivot d’un tel plan.

En investissant dans les véhicules zéro émission (VZE)* et en mettant en œuvre des politiques favorables1­, les gouvernements canadiens peuvent radicalement réduire les émissions de GES et la pollution atmosphérique tout en créant des centaines de milliers d’emplois2 et en permettant aux consommateurs de réaliser d’importantes économies de carburant.


* Selon la définition du gouvernement fédéral, un VZE est un véhicule qui a la capacité de ne produire aucune émission d’échappement. Il peut être équipé d’un moteur à combustion interne conventionnel, mais il doit pouvoir fonctionner sans ce moteur. D’un point de vue juridique, les véhicules hybrides rechargeables et les véhicules à batterie électrique ou à pile à combustible sont considérés comme étant des VZE.


Le changement climatique nuit déjà à la santé des Canadiens

À l’échelle mondiale, le changement climatique a déjà un impact catastrophique sur la santé humaine. En 2018, près de 300 000 personnes dans le monde sont mortes prématurément en raison de l’augmentation des températures résultant du changement climatique3. Et pourtant, l’augmentation des températures n’est qu’un des nombreux facteurs de risque associés au changement climatique.

Dans différentes régions du pays, le changement climatique a augmenté la fréquence et l’intensité des inondations, de feux de forêt, des ouragans, des tempêtes de verglas et des vagues de chaleur au cours des dernières décennies4. Ces événements ont exposé des millions de gens à des niveaux extrêmement élevés de pollution atmosphérique toxique5, forcé des centaines de milliers de Canadiens à évacuer leurs maisons et privé d’électricité des centaines de milliers de personnes pendant de longues périodes. Le changement climatique est également responsable de la fonte du pergélisol dans le Grand Nord, de l’élévation du niveau de la mer sur trois littoraux et de l’élargissement de l’éventail de maladies à transmission vectorielle telles que la maladie de Lyme6.

Bien que le changement climatique nuise à la santé de tous, il a un impact plus important sur certains. Les jeunes enfants, les Canadiens âgés et les personnes ayant déjà des problèmes de santé sont plus sensibles aux vagues de chaleur et à la fumée des feux de forêt. Les peuples autochtones des collectivités nordiques peuvent connaître une plus grande insécurité alimentaire, car la fonte du pergélisol et les changements dans les populations végétales et animales perturbent leur accès aux sources alimentaires traditionnelles. En outre, les personnes à faible revenu n’ont pas nécessairement les ressources voulues pour se protéger ou se remettre de phénomènes météorologiques extrêmes7.

Les coûts des catastrophes liées au climat qui contribuent au réchauffement climatique sont considérables. Le nombre d’événements catastrophiques a plus que triplé depuis les années 1980. Au cours des neuf dernières années, ces événements ont entraîné des coûts d’assurance de 14 milliards de dollars au Canada, soit une augmentation de 1 250 % depuis les années 19708.

Les VZE réduisent les émissions de gaz à effet de serre qui causent le changement climatique

Pour éviter des niveaux de réchauffement planétaire catastrophiques, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a conclu que tous les pays devront réduire leurs émissions nocives pour le climat de 45 % d’ici 2030 et à zéro (cible nette) d’ici 20509.

Le secteur des transports est le deuxième responsable des émissions de GES qui peuvent causer le changement climatique et représente 26 % des émissions de GES du Canada10. Au cours des 20 dernières années, les émissions de GES du secteur des transports ont augmenté de près de 30 % en raison de la popularité croissante des VUS et des camions, avec leurs émissions élevées11.

Passer d’une voiture à essence à un VZE peut réduire les GES de 34 à 98 %, selon la source de l’électricité. Plus le réseau de distribution d’électricité est propre, plus les réductions sont importantes12. Selon une étude de modélisation nationale, si l’ensemble des voitures et des VUS neufs vendus d’ici 2030 étaient entièrement électriques, les émissions de GES pourraient être réduites de 33 millions de tonnes (Mt) par année, et si 75 à 80 % des camions neufs étaient électrifiés d’ici 2030, ces émissions pourraient être réduites de 30 Mt par année13. Ensemble, ces réductions (63 Mt) représentent 34 % des émissions de GES du secteur canadien des transports (185 Mt en 2018) et 8,6 % des GES émis par l’activité humaine au Canada (729 Mt en 2018)14.

La pollution atmosphérique liée à la circulation automobile est très préoccupante pour la santé

La pollution atmosphérique continue de poser un risque important pour la santé au Canada. Elle est responsable chaque année d’environ 14 600 décès prématurés de personnes atteintes de maladies du cœur, d’AVC, de cancer du poumon et de maladie pulmonaire obstructive chronique15

Les corridors de circulation à volume élevé sont une importante source de pollution atmosphérique au Canada et l’une des principales raisons des écarts dans les niveaux de pollution atmosphérique à l’intérieur des centres urbains. Selon de nombreuses études, les personnes vivant dans un rayon de 50 à 1 500 mètres d’une autoroute ou d’une artère principale sont exposées à des niveaux de pollution atmosphérique sensiblement plus élevés16.

La pollution atmosphérique liée à la circulation automobile (PACA) est étroitement associée aux augmentations des cas d’exacerbation de l’asthme et de l’incidence de l’asthme chez les enfants, à la réduction de la fonction respiratoire17 et à la morbidité et aux décès dus aux maladies cardiovasculaires et au cancer du poumon18. La PACA suscite beaucoup d’inquiétude au Canada, car environ 10 millions de personnes vivent très près de corridors de circulation à volume élevé où les niveaux de pollution atmosphérique sont importants (c.-à-d. dans un rayon de 500 mètres d’une autoroute ou de 100 mètres d’une route urbaine majeure)19. Dans la seule région du Grand Toronto et de Hamilton (RGTH), il est estimé que la PACA est responsable d’environ 700 décès prématurés et 2 800 hospitalisations de personnes atteintes de maladies cardiaques et pulmonaires chaque année. Les incidences de la PACA sur la santé se chiffrent à 4,6 milliards de dollars par année20.

La pandémie de COVID-19 a illustré une fois de plus l’effet de la pollution atmosphérique sur la santé. De nouvelles études indiquent que l’exposition à long terme à la pollution atmosphérique entraîne une hausse des taux de mortalité due à la COVID-19; une étude a même estimé que la pollution atmosphérique a contribué à 15 % des décès dus à la COVID-19 dans le monde21. Selon une étude menée aux États-Unis, les taux de mortalité de la COVID-19 augmentent de 8 % avec toute augmentation de 1 μg/m3 du niveau de particules fines (PM2,5) dans l’air. Les PM2,5 sont l’un des éléments de la PACA et le polluant atmosphérique le plus clairement associé à l’accroissement des taux de maladies cardiovasculaires et respiratoires chroniques22.

Les VZE peuvent réduire la pollution atmosphérique

Une proportion accrue de VZE sur les routes du Canada devrait apporter d’importants avantages pour la santé et le climat en améliorant la qualité de l’air. Les avantages pour la santé varient selon les émissions associées au réseau de distribution d’électricité de chaque province.

Selon une étude de modélisation menée par des chercheurs de l’Université de Toronto, un nombre non négligeable de décès prématurés liés à la pollution atmosphérique pourraient être évités chaque année dans la RGTH si les véhicules à essence et diesel étaient remplacés par des véhicules électriques. À partir des chiffres de 2016 sur les véhicules et des chiffres de 2019 sur les émissions associées à l’électricité du réseau de distribution de l’Ontario, l’étude a estimé que chaque année :

  • 313 décès prématurés pourraient être évités, générant 2,4 milliards de dollars d’avantages sociaux, si 100 % des voitures et des VUS étaient remplacés par des véhicules électriques
  • 157 décès prématurés pourraient être évités, générant 1,2 milliard de dollars d’avantages sociaux, si 50 % des voitures et des VUS étaient remplacés par des véhicules électriques
  • 68 décès prématurés dus à la PACA pourraient être évités, générant 500 millions de dollars d’avantages sociaux, si 20 % des voitures et des VUS de la RGTH étaient remplacés par des véhicules électriques;
  • 143 décès prématurés pourraient être évités, générant 1,1 milliard de dollars d’avantages sociaux, si 100 % des autobus de la RGTH étaient remplacés par des véhicules électriques23.

Les avantages sociaux associés à ces scénarios représentent la valeur financière attribuée à un décès prématuré. Ils ne tiennent pas compte des coûts des soins de santé ni du temps perdu associés aux nombreux résultats sanitaires indésirables autres que les décès prématurés qui peuvent être liés à la pollution atmosphérique24. Néanmoins, avec des avantages sociaux estimés à 9 850 $ par véhicule électrique remplaçant une voiture à essence et les économies en santé connexes, ces avantages surpassent largement la ristourne de 5 000 $ actuellement offerte par le gouvernement fédéral pour favoriser la transition25.

Les VZE peuvent réduire les inégalités en santé

Bien que la pollution atmosphérique soit mauvaise pour la santé de tous, elle pose un plus grand risque pour certains. Par exemple, les jeunes enfants, les Canadiens âgés et les personnes ayant déjà des problèmes de santé sont plus sensibles à ses effets indésirables26.

En outre, certains groupes au Canada – les populations à faible revenu, les nouveaux arrivants, les minorités raciales, les peuples autochtones et les personnes ayant d’autres problèmes de santé – sont plus vulnérables à la pollution atmosphérique parce que les membres de ces groupes présentent déjà des taux de maladies, de maladies chroniques et de décès prématurés plus élevés en raison de facteurs de défavorisation sociale27. Ces groupes sont aussi plus susceptibles de vivre à proximité d’autoroutes et d’artères principales qui les exposent à des niveaux plus élevés de pollution atmosphérique.

Quelques études ont permis de constater que les quartiers à faible revenu ont plus tendance à être situés à proximité de zones à forte densité de circulation automobile que les quartiers à revenu élevé28. Par exemple, selon une étude, les quartiers les plus pauvres de Toronto et de Montréal ont 3,5 fois et 2,8 fois (respectivement) plus tendance à se trouver dans un rayon de 200 mètres d’une autoroute que les quartiers les plus riches29. Étant donné leur vulnérabilité accrue, les populations à faible revenu et celles qui vivent près des autoroutes profiteront sans doute davantage du remplacement des véhicules à essence et diesel par des VZE.

Soutenir les VZE et y investir pour une reprise saine, verte et équitable

Même si pour l’instant les VZE sont plus chers que de nombreux véhicules à essence et diesel, les analystes du domaine s’attendent à ce qu’ils deviennent l’option la plus économique d’ici cinq ans avec la diminution des prix des batteries. Au cours des 10 dernières années, les coûts des batteries pour petites voitures sont passés de 30 000 $ à 4 100 $ grâce à la mise à l’échelle de la production et aux baisses des coûts des matériaux. Il serait possible d’appuyer cette transition par des ristournes et des impôts progressifs30.

Les investissements dans les VZE pourraient créer de nombreux emplois au Canada. Au cours des 20 dernières années, la construction de véhicules au pays a diminué de 37 %, et les emplois dans le secteur automobile sont passés de 172 000 à 133 000. En Californie, où il existe une réglementation favorable et des ristournes, il y a maintenant 275 600 emplois dans le secteur des VZE.

Les analystes du domaine de l’énergie estiment que le Canada pourrait créer 474 000 emplois et permettre aux automobilistes de réaliser environ 11,7 milliards de dollars d’économies de carburant par année en exigeant que d’ici 2030 l’ensemble des voitures et des VUS neufs et 75 à 80 % des camions neufs vendus au pays soient électriques. Selon ces analystes, le gouvernement canadien pourrait favoriser une telle transition en investissant 12 milliards de dollars sur cinq ans pour :

  • accélérer l’installation de bornes de recharge de VZE le long des autoroutes et dans les centres urbains;
  • fournir des ristournes de 5 000 $ pour encourager l’achat de voitures et de VUS électriques;
  • offrir aux municipalités et aux conseils et commissions scolaires les fonds nécessaires à l’achat de 7 500 véhicules de transport collectif et autobus scolaires électriques au cours des cinq prochaines années31.

Le gouvernement fédéral a déjà fait plusieurs pas dans la bonne direction. Il a :

  • investi plus de 200 millions de dollars, et promis 150 millions de plus, à l’appui de l’installation de bornes de recharge et de ravitaillement pour les VZE;
  • offert aux Canadiens jusqu’à 5 000 $ pour l’achat de VZE légers avec un budget de 300 millions de dollars sur trois ans depuis mai 201932, et promis 287 millions de plus sur deux ans à partir de 2020-202133;
  • annoncé un investissement de 1,5 milliard de dollars pour accélérer l’adoption des autobus zéro émission par les entreprises de transport public, les conseils et commissions scolaires et les municipalités34;
  • annoncé récemment des cibles volontaires de vente de 15 % de VZE légers d’ici 2025, de 30 % d’ici 2030 et de 100 % d’ici 2040 et promis d’harmoniser la réglementation canadienne des véhicules légers avec les normes de performance les plus strictes en Amérique du Nord après 202535.

Pour récolter les avantages pour la santé, les réductions d’émissions de GES, les emplois et les économies de carburant mentionnés par les analystes du domaine de l’énergie, des investissements plus importants seront nécessaires, ainsi qu’un jeu complet de règlements et de politiques favorables, notamment :
des incitations financières à l’achat de VZE neufs et usagés ciblant les Canadiens à revenu faible et moyen;

  • des dispositions sur les bornes de recharge de VZE dans les codes du bâtiment;
  • des cibles de vente pour les VZE moyens et lourds en plus des véhicules légers;
  • des normes obligatoires d’émissions des véhicules avec des exigences d’amélioration du rendement énergétique et de réduction des émissions des véhicules pour chaque année de modèle;
  • des normes de carburant obligatoires avec des exigences pour les fournisseurs de réduire l’intensité carbonique des carburants qu’ils vendent et de prévoir des crédits pour les carburants de remplacement comme l’électricité et l’hydrogène;
  • du financement et des allégements fiscaux pour encourager les constructeurs de VZE et les usines de fabrication de batteries à s’installer au Canada et les usines existantes à se rééquiper36,37.

Préparé par 
Kim Perrotta M. Sc. S., 
directrice générale de CHASE, 

avec la contribution de 
Ronald Macfarlane MBSI, M. Sc., 
Helen Doyle B. Sc., 
Carol Mee B. Sc. Inf., M. Éd. et 
Kristie Daniel M.S.P.

RÉFÉRENCES

  1. Clean Energy Canada. Taking the Wheel. How can Canada cut carbon pollution and revitalize its auto sector; 2020.
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  3. Watts N, et al. The 2020 report of The Lancet Countdown on health and climate change: responding to converging crises. Review. The Lancet 2020. 
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Date de modification : 3 mars 2021